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Après la Seconde Guerre mondiale, le service des phares et balises (SPB) français a dû faire face à de gros travaux de reconstruction et, simultanément, à la mise en œuvre de systèmes radioélectriques de navigation, de communication et de sécurité maritimes innovants nécessitant le recours aux compétences de personnels extérieurs aux corps dédiés de la fonction publique.

L’association des personnels de signalisation maritime, dite APSM, est née en 1977 du besoin d'assurer une couverture d'assurance complémentaire convenable à certains de ces personnels, finalement intégrés comme non-titulaires, au sein du service des phares et balises. L'APSM avait alors pour but de promouvoir et de défendre les intérêts sociaux de ses membres, notamment en tenant le rôle de porteur d'un contrat d'assurance de groupe « santé prévoyance » au bénéfice de ses membres.

Mais avec le temps, du fait de l'évolution de l'organisation de l’État et de la disparition progressive des personnels concernés par ce dispositif d'assurance, l'APSM a dû se réinventer.

Depuis 2012, l'association a abandonné son portage d'assurance de groupe et s'est redéployée principalement selon deux axes:

● promouvoir les activités de mémoire, de réflexion, d'étude et de communication de ses membres
en matière de signalisation et de sécurité de la navigation maritimes et fluviales,
● développer entre eux un réseau relationnel convivial

En 2015, des statuts renouvelés dotent l’association des sigles APSM ou APSM-PharBal, l’autorisent à recruter ses membres au-delà de son vivier traditionnel et lui confèrent une base juridique solide.

En 2019, la fermeture de l'établissement de Bonneuil-sur-Marne du Cérema, a conduit à transférer le siège de l'APSM-PharBal à Créteil 10 rue du Cap dans l'attente d'un nouvel hébergement durable.